Joly enchaîne les courses
Publié par La Rédaction le mardi 4 juin 2013 à 10:56
Communiqué de Jérémy Joly :
Les courses se sont enchaînées depuis les derniers GP. À peine rentré du Portugal, Jérémy Joly a participé au Trèfle Lozérien puis à la 2ème manche du Championnat de France d’Enduro où il a conforté sa 2ème position au provisoire. Retour sur ces épreuves avant un petit break bien mérité.
Avant de participer au championnat de France, tu t’es aligné au Trèfle Lozérien. Tu nous en dis quelques mots ?
JJ : La course tombait juste après la tournée Espagne-Portugal et je n’ai pu me rendre sur le terrain que le mercredi. J’ai donc repéré ce que j’ai pu : j’ai surtout insisté sur les spéciales des 2 premiers jours et ça se traduit dans les résultats. Il y a eu une belle bagarre pour le podium, j’ai gagné la journée en E1 le samedi où je suis aussi 4ème au scratch. J’ai pris énormément de plaisir sur cette course que je termine en 6ème position scratch, en raison de petites erreurs le dernier jour. Compte-tenu du temps consacré aux recos, je suis très satisfait.
Tu as enchaîné avec la 2ème manche du Championnat de France d’Enduro à Saint-Palais. Une épreuve humide non ? Le terrain gras semble t’avoir plu ?
Oui c’est vrai, cela faisait longtemps qu’on n’avait pas roulé dans le gras. Les conditions de course étaient très délicates avec toute la pluie qui est tombée dans cette région. J’en profite pour féliciter les organisateurs qui ont su gérer la situation au mieux et préserver l’épreuve, parce que ça ne s’annonçait pas très bien… J’ai pris le commandement de la journée dès la 2ème spéciale du samedi et j’ai gardé la tête toute la journée jusqu’au dernier chrono où j’avais quelques secondes d’avance sur Antoine Meo. Il a alors sorti une grosse attaque : un véritable attentat ! Et je termine finalement 2ème à 3 secondes. Je n’ai pas de regret à avoir. La victoire était proche, j’ai tout donné pour rester leader et se battre avec un pilote comme lui est plutôt une bonne chose. Je suis content que Meo soit obligé de se se sortir les tripes pour me battre.

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texasthierry
4 juin 2013 à 14:12
Un attentat en Basquonie…rien de rare ! :)